Dans un communiqué publié ce dimanche 5 septembre, le président en exercice de l’Union africaine le congolais Félix Tshisekedi et le président de la Commission Moussa Faki Mahamat ont condamné toute prise de pouvoir par la « force ».
Dans ce communiqué, le président en exercice de l’UA demande aussi la libération « immédiate» du président Alpha Condé.
Quant à la France, elle se joint à l’appel de la CEDEAO qui condamne avec «la plus grande fermeté » ce coup d’Etat, et demande « la libération immédiate et sans condition du président Condé».
En exigeant le retour à l’ordre constitutionnel, la CEDEAO menace de sanctionner la Guinée.
« Elle demande aux forces de défense et de sécurité de demeurer dans une posture républicaine…» a déclaré le communiqué de la CEDEAO.
URIEL
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